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21h

 

Notes de cuisine

de Rodriguo García

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une odeur de Bouillon,

un oignon pique les yeux.

Ils sont là, depuis toujours, cuisinant, papotant.

Ils parlent trop. d'autres diront trop peu.

Si l'un coupe en quatre une pomme, l'autre se répand en aveux.

De la pensée auditive, de l'urgence de parler, de celle de manger. Rien n'est trop beau pour être dit.. Même les mots de merde.

Ils parlent et ne s'écoutent qu'à moitié, entament une lutte pour la vie, ou pour la tomate, c'est du pareil au même.

On chantonne, pas de chant Élisabéthain, ce qui vient.

Qu'ont ils de spécial ceux là ?

Cette figure est une personne. Cette figure est un bout de toi.

Il n'y a pas d'histoire. Les histoires : c'est bon pour les romans. Seulement la fine trace d'un passé, vécu, mais inconnu. De l'iceberg, seule la partie hors de l'eau nous est montrée. Là, devant nos yeux , s'étirent les fantasmes que la mémoire a pu faire émerger.

 

 

Mise en scène

Marine Arcicault

 

Distribution

Théo Lasnier

Gaëtan Ranson

Noémie Richard

 

Technique

Maxime Fieux et Armand Gressier (Ecole ADAMS)

 

Parrainage

Christian Malaurie

 

 

 

 

 

19h

 

Dans la solitude

des champs de coton

de Bernard-Marie Koltès

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deal [dil] n.m. anglic. fam. Transaction commerciale portant sur des valeurs prohibées ou strictement contrôlées, et qui se conclut, dans des espaces neutres, indéfinis, et non prévus à cet usage, entre pourvoyeur et quémandeurs, par entente tacite, signes conventionnels ou conversation à double sens - dans le but de contourner les risques de trahison et d'escroquerie qu'une telle opération implique -, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, indépendamment des heures d'ouverture règlementaires des lieux de commerce homologués, mais plutôt aux heures de fermeture de ceux-ci.

 

Mise en scène et scénographie

Virginie Bonnici

 

Assistant direction d'acteur

Jean-François Coffin

 

Distribution

Mathilde Bonicel

Benoît Le Moine

 

Avec la participation de Red / Club canin Tactichien

 

Technique

Étienne Coussirat, École ADAMS

 

Parrains

Gregory Bannier et Jean-Luc Ollivier

 

Crédit photo

Peony Yip

16h30 et 19h

Mécanique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Issu d’un monde étrangement logique, Mécanique évolue dans une réalité absurde,exagérée. Le spectacle entraîne les curieux dans un univers merveilleux et insolite. Tel un enfant qui entre dans un conte, le public est transporté dans une dimension décalée où caricature et société riment avec magie et absurdité.

 

Selon un principe de spectacle déambulatoire, le spectateur évolue dans différents espaces où se mêlent théâtre, musique, marionnettes et vidéos de propagande.

 

L’histoire : Le patron du groupe Frousty a une idée « incroyablement génialissime » : comme un compromis entre le social et l’économique, face aux problèmes de chômage et le manque de compétitivité des entreprises, il décide de mécaniser ses salariés. Mathieu, balayeur, a été oublié : il est resté un humain tout à fait normal. Cette année, Frousty organise un concours sportif entre ses employés : c’est drôle, ça dynamise l’entreprise et ça motive le personnel. Le vainqueur remporte le poste de directeur régional d’Aquitaine. Mathieu participe au concours. Face aux machines, il n’a aucune chance. Cependant il a un atout : il est le seul participant à ne pas rouiller. Pour le reste, il va devoir faire appel à ses alliés : la femme oiseau, mécanicienne et l’étrange Lucile, son apprentie.Le spectacle prend la forme d’un conte moderne dans un univers à la logique farfelue et improbable. Des personnages magiques, quasi mythologiques, entrent dans la danse pour venir en aide à notre héros spécialiste du nettoyage des sols.

 

 

Texte et mise en scène

Mélissa Mangnez

 

Assistante à la mise en scène

Pauline Blais

 

Comédiens scène

Cloé Carbonaré

Emma Gassie

Hélène Godet

Vincent Guillaume

Mélissa Mangnez

 

Compositeur

Guillaume Colombeau

 

Vidéaste, animateur 3D

Vincent Guillaume

 

Acteur vidéo

Benjamin Giorgi

 

Marraine de projet

Aurore Cailleret

 

Technique

Ecole ADAMS

 

 

 

 

 

A la Maison des Arts, Pessac 

20h

Tant d'hippocampe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tant d’hippocampe, c’est le voyage d’Emma parmi ses souvenirs. C’est avant tout un conte, qui nous permet l’impossible : tomber dans sa tête pour se permettre de prendre le temps de prendre le temps. Trier ses souvenirs entassées, les dorloter, y faire le ménage, comprendre le passé pour mieux voir le futur. Là-dedans, les murmures de ses idées lui parlent à l’oreille. Et de ces murmures va naitre une rencontre. Celle de son passé et de sa confiance, avec elle-même. Mais lorsque l’on met quelque chose ou quelqu’un de côté, il ne faut pas s’attendre à être bien reçu..

Le théâtre est une rencontre. Une excuse au voyage. Par Tant d’hippocampe, je souhaite parler de ce qui m’est cher au théâtre : inviter tout le monde à tomber dans une histoire. Les personnes aguerries comme les curieux. Igor, de Dromesko, appelle les spectateurs « les gens ». Je reprend ici ce terme car il me semble en adéquation avec mon invitation. Ce conte farfelu, c’est avant tout une excuse pour donner à voir, à entendre, à rêver sur sa propre vie, sur son chemin parcouru jusqu’ici et ce qu’il reste encore à vivre. Spécifiquement à ce travail, et à ma fin d’études, le projet de Tant d’hippocampe est aussi un jeu sur l’inconscient des comédiens comme de moi-même. Nous sommes nourrit de nos souvenirs, de nos actes manquées, de nos boulets au pied. Les personnages de ce spectacle sont des hommages. A ceux qui sont parti trop tôt, ceux qui n’ont plus la possibilité de penser, ou encore ceux qui n’ont pas arrêté de rêver. Ce sous-jacent de l’histoire, seul certains pourront y accéder car ils portent la clef.

Bienvenue.
Entrez sans frapper.
La tête est ouverte.

 

 

Texte, mise en scène et scénographie

Harmonie Garry

 

Assistante mise en scène

Hannah Lebre

 

Distribution

Victoria Del Castro

Elsa Boulay

Pauline Blais

Hélène Godet

 

Création marionnettes

Mylène Louet

 

Création visuelle

Enora Ramel et Harmonie Garry

 

Parrain

Pascal Laurent

 

Technique

Ecole ADAMS

 

 

Merci à Ingrid Diaz et Julie Bonnet, Marc Depont,

Benoit Lagarrigue, Le château de Quinsac, Solenne Denis pour son hippocampe

La nuit venue et les sheitans de toutes parts.

 

 

 

A la Maison des Arts, Pessac 

 

19h

Le Ventre de la Baleine

de Stanislas Cotton

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le ventre de la baleine, on est souvent seul.

Mais Jonas, enfui, n'est plus à l'intérieur.

Et Aphrodite, elle, connaît son malheur.

Car dans celui de la bouteille, il cultive la haine.

Il faut toujours un bourreau et une victime. La vengeance et le pardon sont côte­-à­-côte.

L'amour et la violence, ensemble, dans un incessant va­-et-­vient, pour combattre la solitude de la déesse.

 

         Ce spectacle est un monologue sur l'amour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mise en scène et scénographie

Pierre Rautureau

 

Chorégraphie

Paola Housty et Pierre Rautureau

Avec la collaboration d'Isabelle Lasserre

 

Distribution

Paola Housty

Alexandre Martin

Thomas Perrin

Rahim Redouane

19h

 

Ego

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« EGO désigne généralement la représentation que l'on a de soi-même. Il est tantôt considéré comme  le  fondement  de  la  personnalité,  tantôt  comme  une  entrave  à  notre  développement personnel.

Avec ce spectacle, je tente de présenter les bases de ma personnalité artistique. Des images, des sons, des mots qui m’ont toujours hanté, et qui résumeraient l’atmosphère de mon univers artistique aujourd’hui. Un cabaret rock et littéraire où je jette ma petite personne en pâture à mes fantasmes et mes caprices. » F.H

La soirée débutera par un murmure de poèmes, et se terminera sur un déchaînement d’accords de rock tout en bruit et en fureur.

D’après un patchwork de textes de Jikabo, Xavier Durringer, Leïla Houari, et autres…

 


Projet / Mise en scène

Félix Houliat


Avec la participation de Jérôme Cabot, Marc Lafaurie, Marie Noël, Alexandre Pache, Camille Monnet, Rémi Puglisi, Camille Olivares, Sophie Crueghe, Muriel Ducuing et l’incontournable Kévin Jouan en regard extérieur.

 

 

21h30

A Perdre haleine...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au détour d’une rue, un jardin magique. Un coin de verdure bourré d’histoire. Au milieu d’une ville, envahie par son urbanisme proliférant, des habitants solidaires ont réussi à sauver de la noyade un espace commun. Aujourd’hui, cette friche est devenue jardin partagé. Véritable lieu de vie, le Jardin de ta Sœur continue d’être nourri par ses riverains. Comme un échange de bon procédés : une bouffée d’air frais et de partage contre une trêve de béton.

 

C'est à Bordeaux, dans cette partie quelque peu délaissée du quartier des Chartrons, que naît “À perdre haleine”. La rencontre de la friche devenue jardin, de ses habitants et de la nature qui y cohabitent... Des décors naturels se forment dans les rêves éveillés... C’est ici. C’est ici qu’un esprit enivré de théâtre de rue pose ses valises.

 

Inspirée par ce petit bout de jardin partagé, c’est par la convivialité, la fête et la communauté que la dramaturgie pointe le bout de son nez. Une “Echappée belle”* adaptée au Jardin de ta Sœur. La tranche de vie d’une fratrie qui retrace les souvenirs de cette ancienne friche. Pour, juste le temps d’une soirée, osciller entre vie d’adulte dépassée et enfance retrouvée, entre intériorité et partage. Cette déambulation dans le jardin, tourbillonne entre la poésie et le kaléidoscope du théâtre et des arts de la rue.


*L’échappée belle, roman d’Anna Gavalda.

 

 

Avec la participation des habitants du quartier des Chartrons et des associations Jardins d’Aujourd‘hui, le Collectif Bordonor et le Centre Social Bordonor. Avec le soutien de l’université Montaigne Montesquieu et la ville de Bordeaux. Remerciements : 4J Evenement et tous les soutiens.

 

 

Adaptation, mise en scène et scénographie

Marion Darcis

 

Assistante mise en scène

Lola Salardaine

 

Distribution

Marine Lastecoueres

Vincent Bret

Maxime Bonamie

Clemmie Haynes

Jeanne Laffargue

Anaïs Laville

Emile Ragot

 

Création marionnette

Marine Lastecoueres et Lolita

 

Visuel

Marion Darcis

 

Régisseur général

Yves Derrien

 

Technique

Ecole ADAMS

 

Au Glob Théâtre, Bordeaux

Le Jardin de ta Soeur, Rue Dupaty, Bordeaux

A la Maison des Arts, Pessac 

21h

On the road

Don't worry 'bout nothing

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Très librement inspiré du livre Sur la route de Jack Kerouac -

 

Ce que l’on trouve dans le livre de Kerouac, c'est un mouvement ininterrompu, ce souffle continu qui caractérise le voyage. Mais plus qu'un simple voyage, il s'agit de se laisser porter au gré des découvertes, d'aller à la rencontre des limites jusqu'à les faire disparaître. Plus qu'un texte, c'est un souffle. Un mouvement frénétique que l'on retrouve chez ces personnes qui ne savent plus où elles vont, ce qu'elles font, et qui en sont conscientes. Oublier les indications, et chercher à éclairer ce que l'on peut, essayer de voir où et quand cela est possible, mais avant tout "y aller", et révéler le vacarme intérieur de chaque être.

 

Plongées dans l'errance, ces personnes vagabondent, leurs bagages remplis d'une étrange folie. Elles perdent de leurs caractéristiques, et en même temps s'ouvrent à de nouvelles possibilités. Elles sont plus floues, incertaines de leurs actes. Il y a une perte de contrôle.  Peu importe ce qu'il se passera, l'important est de regarder avec l'intérieur.

 

 

(Un très court moment du spectacle peut gêner les personnes épileptiques)

 

Durée : 40 min

 

Conception

Antoine Marchand

Alice Gombaud

 

Interprètes

Gustavo Adolfo Suarez Rios

Clémence Biensan

Oscar Busquet

Marie Manzagol

Antoine Marchand

Frédéric Marconnet

Alexandre Martin

Gaëtan Ranson

Shérone Rey

Maïlys Sangla

 

Montage sonore et machine

Antoine Marchand

 

Costumes

Alice Gombaud

 

Régie encadrée par Laurent Maza de l’Ecole ADAMS


Régie lumière

Clément Lapeyre

Vincent Lapeyronnie


Régie son

Alexandre Varé


Régie plateau

Maxime Fieux

Armand Gressier

A la Maison des Arts, Pessac 

 

21h

Personne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment C'est Maintenant ?

Une question simple. Instinctive car c'est la première phrase que l'on prononce après avoir été troublé. « Comment nous sentons-nous maintenant, à cet instant précis ? ». C'est le passage d'un état réflexif à un état corporel ; le corps, ce bel inconnu. Voilà la première ambition - et pas des moindres - du Collectif CCM : agir.

 

On cherche toujours la nouveauté et tant de choses ont déjà été faites... CCM ne prétend pas faire du nouveau au contraire tout est déjà sous nos yeux. Il s'agit donc de travailler sur une notion fondamentale et bien trop souvent oubliée : l'instant présent.

Ce n'est pas de la danse, ce n'est pas du théâtre, ce n'est pas de la performance, d'ailleurs, ne cherchons pas à savoir ce que c'est car c'est bien la partie la plus ennuyeuse du travail. Laissons-nous simplement emporter le temps d'une heure, dans une salle immense et vide où les émotions que nous freinons sans cesse ont pour une fois l'autorisation de s'exprimer. PERSONNE est un laboratoire, une expérimentation dont vous faites l'expérience.

 

N'ayez pas peur, personne ne vous jugera.

 

Durée : 1h

Entrée et sortie libres

 

Collectif CCM

 

Au Glob Théâtre, Bordeaux

 

 

 

21h

Mise à jour

Update the common

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                                                      

 

 

 

We're the stuff as dreams are made on, and our little life is rounded with a sleep.

(Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves et notre petite vie est entourée de sommeil).

                                     La Tempête, Acte 4 - Scène 1, William Shakespeare

 

Cette incitation est à l'image de la rencontre artistique entre Charlotte Leduc et Léa Brossaud. Rencontre soudée par la passion commune du jeu. Léa cherche la connexion entre le mouvement de la danse et le jeu du théâtre. Charlotte cherche, par le jeu, à lier corps et espace. Pour elles, esprit et corps sont une unité et non une dualité. Toutes deux puisent leurs inspirations chez des artistes tels que Pina Bausch, James Thierrée ou bien encore Yves Lecoq, et Jiří Kylián.

 

Ainsi est née l'envie d’une écriture de plateau et d'un travail sur le corps. Mais elles portent aussi un regard attentif sur la société actuelle et questionnent le chemin qu’emprunte l’Homme aujourd’hui. Inondé par de nouveaux « moyens de communications », n’oublie-t-il pas l’instant présent ? Quelle place le virus du « virtuel » laisse-t-il au réel ?

 

A partir du plateau, d’un lieu, de personnalités différentes, elles parlent de cet instant présent. Et nous livrent un diagnostic sensible du monde actuel. Cinq comédiens s’amusent alors dans le vivant, le jeu, le virtuel, de ces gestes et comportements qui font notre quotidien.

 

 

Mise en scène et chorégraphie

Charlotte Leduc et Léa Brossaud

Avec la collaboration d'Henri Bonnithon

 

Distribution

Joy Boutines

Maxime Lamarche

Otto Ziegler

Charlotte Leduc

Léa Brossaud

 

Technique

Patrice Barbier et Samir Bouzidi

A la Maison des Arts, Pessac 

A la Maison des Arts, Pessac 

A la Maison des Arts, Pessac 

 

19h

Chambre(s)

d'après l'oeuvre de Philippe Minyana

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quatre femmes et un homme qu’on ne veut pas écouter, qui dérangent les autorités, les gens bien pensants. Cinq personnes qui se sont construites au son de “ta gueule”, mais ce soir ils vont parler, ils ont une scène pour eux, rien que pour eux. Alors ils pourront sortir de leurs chambres et raconter, se raconter, et même si tout sort en désordre, l’important est qu’ils puissent enfin l’ouvrir, leur “gueule”. Ça gueule, oui, mais ça chante, aussi, ça rêve, ça rit, enfin bref, ça vit.

 

Chambre(s), c’est aussi ce cri vital que pousse l’enfant qui naît, la mère à laquelle on l’enlève, la jeune femme élue Miss et le frère qui devient enfant unique. Mais ce n’est pas un drame, pas plus qu’une tragédie. Elisabeth, Kos, Arlette, Tita et Latifa ne se plaignent pas, ne cherchent pas l’apitoiement, au contraire. Ce qu’ils cherchent est peut-être plus dur à trouver : une oreille attentive, un regard qui ne fuit pas, car alors ils pourront parler, et même plus que cela, raconter. Et si leurs histoires font frissonner, sourire ou pleurer, elles n’en restent pas moins des histoires, dont ils sont les porteurs.

 

Durée : 1h

 

Adaptation et mise en scène

Emma Schoepfer


Aide à l’adaptation

Emmanuel Darley


Distribution

Alexia Duc

Mathieu Dufour

Aurore Rabenja

Morgane Sage

Emma Schoepfer

Frédéric Serra


Technique

Ecole ADAMS


Crédits photos

Mikael Chevallier

 

Remerciements : Romain Jarry,  Jean-Marc Eder et Le Mythe de la taverne

 

  • Mardi 10 juin

  • Jeudi 12 juin

  • Vendredi 13 juin

  • Samedi 14 juin

  • Mercredi 11 juin

  •  Lundi 09 juin

Au Glob Théâtre, Bordeaux

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